Samedi 2 juillet. Nous avons, ce matin, le choix entre deux itinéraires pour rejoindre Sarria. Le premier, plus long, plus direct et plus plat longe la nationale. Le second, que nous choisirons, passe par la campagne. Il est très vallonné, donc exigeant, mais tellement plus distrayant. Succession de villages galiciens authentiques où les églises sont souvent fermées, grandes fermes où l’air fleure bon la vache ou le cochon. Nous naviguons entre prairies et forêts, dans des chemins creux bordés de murets recouverts de mousse sous l’ombre bienveillante de chênes séculaires. La Galice me séduit comme l’avait fait avant elle la Navarre.




Au hasard de notre journée, rencontre avec Gérard vivant en Espagne et qui a fait sa scolarité à Thonon. Plus loin, rencontre avec Karine vivant à Genève et qui a longtemps habité Bellevaux. Elle tire derrière son vélo un drôle d’équipage.
Ces rencontres nous montrent que, même si le chemin est long, le monde est petit !
La bise.
Incroyables rencontres en effet ,qui vous rappellent votre belle région
Cette fois , vous approchez vraiment du but : c’est le compte à rebours ; vous êtes impressionnants d’endurance et vous nous bluffez
Tous nos encouragements pour atteindre le But
Bises