Mercredi 6 juillet. Toujours ces beaux chemins ombragés mais aujourd’hui c’est au milieu de forêts d’eucalyptus que nous marchons. Odeur enivrante et subtile, parfums de camphre. Importés d’Australie au XIXème siècle ils recouvrent une grande partie de la Galice. (ça c’est Juan qui me la dit). Régulièrement, des groupes de pèlerins envahissent notre chemin puis, quelques minutes après, nous sommes de nouveau seuls. Et silence s’installe jusqu’à la prochaine déferlante. Avec Rose nous n’arrêtons pas de dire « que c’est beau, que c’est beau ». mais c’est vrai que sous le soleil elle est belle la Galice. Nous sommes parfois dans le Jura, parfois en Bretagne, parfois dans le midi.

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