Lundi 2 mai. Après une difficile étape de 9 heures (30Km et 700m D+), j’arrive au gîte complètement détruit.
Je ne sais pas quelle est la partie de mon corps qui me fait le plus mal. Les pieds, le dos, les épaules, chacune de mes articulations protestent avec véhémence.
Mais une douche chaude plus tard, tout va déjà beaucoup mieux.
Pour la première fois depuis trois jours je rencontre mes premiers pèlerins. Ce soir, nous serons huit à table : deux allemands qui font chaque année une partie du chemin et quatre dames qui voyagent léger ayant la chance d’avoir un chauffeur qui transporte leurs bagages.
La soirée s’annonce conviviale…